mardi 29 mai 2012

Je suis certaine que si vous pouviez être à ma place vous seriez heureux, mais vous l'êtes sans doute aussi chez vous ou derrière votre bureau. Je suis installée dehors à l'ombre, un petit vent fait frémir les branches des chênes, ça sent la garrigue, les genêts en fleurs, le romarin, en face de moi les contreforts des Basses-Alpes, derrière moi le mont Ventoux à quelques kilomètres Nyons ou Valréas. Le camping est en terrasses ce qui   nous fait bénéficier de la vue, nous ne sommes gênés par personne. Une belle piscine dont je pourrais profiter, je ne peux pas, pas de soleil sur mon bras sous peine de le voir enfler, ce n'est pas grave, il y a d'autres plaisirs.ce n'est pas grave, il y a d'autres plaisirs.
J'étais étonnée en arrivant dans ce camping, il y a déjà du monde, il doit être répertorié dans les guides Hollandais, pour la qualité de son environnement et pour le soleil; Nous avons un emplacement un peu à l'écart qui donne sur le petit bois, j'avais installé mon relax à l'ombre, un bouquin entre les mains, je l'ai lu en même pas deux heures "La liste de mes envies", j'avais fini "L'armoire des robes oubliées" hier soir. J'ai beaucoup aimé ces deux livres. Un point commun, des histoires de femmes.
Je lis pendant que Christian s'active, il ne sait pas rester en place, je pourrais culpabiliser d'être aussi paresseuse, mais non, je reste très zen en le regardant faire, une abeille autour d'une ruche et moi je suis la reine; Je l'ai envoyé prendre des photos tout en haut du camping, ça grimpe beaucoup, mais comment fait-il pour n'être jamais fatigué??

Revenons à mes lectures.

"L'armoire des robes oubliées" est un roman écrit par une finlandaise, décidément la littérature scandinave a le vent en poupe en ce moment, elle se vend très bien, et ce n'est que justice.
J'ai aimé ce livre, lorsque je lis sans  vraiment fermer le livre au moment où il faut que je fasse autre chose, c'est que le l'aime, ll reste ouvert tout près de moi, j'ai une minute, je lis une page, je veux connaître la suite le plus vite possible, et là c'était le cas, d'autant plus que dans la caravane le livre reste toujours à portée de ma main, c'est très tentant.
L'écriture de ce roman, ne ressemble pas à l'écriture d'un auteur français, c'est sans fioriture,l'auteure décrit une famille finlandaise. La mère est une pédiatre-psy reconnue, elle donne des conférences dans toutes les capitales, s'absente souvent, le père est un peintre célèbre, il y a une petite fille qui est confiée à un genre de nurse, une étudiante qui a besoin de travailler Eeva, une jolie jeune femme qui vient de la campagne et qui étudie à Helsinki. L'enfant s'attache à la nurse, mais le papa aussi, beaucoup trop, une histoire d'amour s'installe, l'enfant devine ce qui est en train de se passer, toute sa vie sera marqué par la trahison de son père, un homme qui sera tiraillé entre l'amour charnel qui le lie à Eeva et l'amour qu'il porte à Elsa sa femme qu'il ne peut pas quitter. Elsa sera atteinte d'un cancer qui ne lui laisse aucune chance de survie lorsqu'elle aura 70 ans, toute le famille se mobilise pour s'occuper d'elle, et c'est à cette occasion qu'une de ses petites filles découvre dans une armoire une robe, elle pense qu'elle appartient à sa grand-mère, mais non, la robe était à Eéva, un secret de famille bien gardé sera dévoilé.
L'auteure a su décrire les moments où la fille et l'homme savent qu'Elsa va mourir, perdre une maman, quelle douleur! Et pour lui, savoir que plus jamais il ne la prendrait dans ses bras. Des mots justes qui peuvent vous faire pleurer.
J'ai aimé la description des coutumes finlandaises, cette vie qui privilégie la nature. Le sauna, les baignades dans les lacs glacés, les sentiments des scandinaves qui ne ressemblent pas tout à fait aux nôtres dans la manière de les exprimer, bien que les relations amoureuses soient partout les mêmes, elles peuvent rendre heureux mais détruire aussi. Des beaux portraits de femmes et la lâcheté des hommes lorsqu'ils ne se décident pas à choisir. Lisez ce livre, je suis certaine qu'il vous plaira.

"La liste de mes envies."

J'avais envie d'acheter ce livre, MThé l'avait,, je l'ai récupéré à Vichy et je viens de le lire, très vite, il n'est pas épais mais il est  dense en sentiments. Je me suis de nouveau posé la question : Comment un écrivain homme peut-il aussi bien décrire les sentiments féminins?
Comment un homme peut-il savoir qu'une femme doute d'elle tout le temps, qu'elle guette son image dans le regard de l'autre, surtout lorsqu'elle n'a pas encore atteint cet âge qui lui donne toutes les libertés.
Jocelyne est une femme ordinaire, avec une vie ordinaire, elle peut être vous, moi, on se reconnaît dans ses joies, ses doutes, ses souffrances. Elle ne se trouve pas belle, un peu trop enveloppée, Jo son mari n'est pas celui dont elle rêvait, mais elle se satisfait de cette vie et de ce mari qui est quelquefois brutal, sans finesse mais qui sait si bien se faire pardonner ses indélicatesses. Un jour la vie de Jocelyne est bouleversée, elle gagne 18 millions d'euros au loto, ne le dit à personne, cache son chèque dans une vieille chaussure et dresse la liste de ses envies, des envies bien modestes à l'image de sa personne. Cet argent elle ne l'attendait pas, ne le désirait pas, elle a peur qu'il dérange l'ordre de sa vie,délite tout ce qu'elle a réussi à construire, et il y a la fin que je vais vous laisser découvrir, parce que ce livre vous devez le lire. Grégoire Delacourt écrit sur l'amour, la vie, l'amitié, c'est vraiment un joli livre.
J'ai relevé quelques citations :
"Plus les mensonges sont gros, moins on les voit venir."
"On passe une vie à remplir une maison ; et quand elle est pleine, on casse les choses pour pouvoir les remplacer, pour avoir quelque chose à faire le lendemain."
Ne dit-on pas souvent " Tiens, ça nous fera un but.", chercher le bon objet, ou le petit meuble qui manque mais qu'on ne trouve jamais, parce que nous n'avons pas envie de le dénicher, nous n'aurions plus de but.

Je vais essayer de commencer "La couleur des sentiments", je dis bien essayer, je n'arrive pas à comprendre pourquoi je repousse toujours le moment de le lire.  Bye MClaire.

mardi 22 mai 2012

Une petite visite à ma gazette bien délaissée depuis deux semaines. Aujourd'hui, j'ai le temps, pas grand chose à faire en attendant le soleil qui se fait desirer, j'ai remis un pull, nous n'arrivons pas à décamper de Vichy, il pleut sans cesse, mais je ne m'ennuie pas, finalement la caravane est équipée comme un petit studio, la seule différence est qu'il me suffit souvent de tendre le bras pour saisir quelque chose. Une si petite surface si bien aménagée, nous n'avons pas l'impression d'être sans confort, une seule chose le chauffe-eau nous a lâché, nous n'avons plus que de l'eau froide mais il suffit de faire quelques pas pour trouver le point d'eau chaude sur le camping, Christian est chargé de faire la vaisselle pendant les vacances, comme tous les hommes, c'est une tradition en camping, en ce moment il guette le petit moment où la pluie sera moins forte pour sortir et il faut vraiment saisir le bon créneau.
Nous sommes allés voir l'Allier qui longe le camping, le fleuve est haut, mais il y a encore de la marge avant qu'il déborde. Nous avons connu beaucoup de choses dans notre vie, mais jamais une inondation. Une seule fois lorsque nous habitions La Châtre mais très en hauteur, l'Indre cette minuscule rivière qui passe dans cette petite ville était sortie de son lit et formait un lac plus bas que la maison, une drôle d'impression, bien avant d'ouvrir les volets nous savions qu'il y avait quelque chose d'anormal, un silence inhabituel. Nous ne craignions rien, ce n'était pas le cas des maisons qui bordaient la rivière, de l'eau jusqu'au plafond. Je ne tiens pas à voir notre maison roulante flotter dans l'Allier.
Cet après midi nous sommes allés au cinéma voir "Indian Palace" un film anglais délicieux.
Je ne connais pas du tout les acteurs. Des retraités anglais financièrement un peu justes, décident de partir en Inde après avoir vu sur internet l'offre du Marigold Palace, un ancien palais transformé en hôtel, le prix est attractif, lorsqu'ils arrivent sur place ce n'est pas du tout ce qu'ils espèraient mais ils vont tenter de s'adapter, certains y arrivent, d'autres pas. L'inde est filmée de très belle façon, le bruit, la circulation, la pauvreté, mais ce n'est pas le sujet, le sujet est que nous pouvons changer de vie à tous les âges et retrouver l'amour lorsque celui ci s'est échappé de notre vie ou un sens à sa vie lorsque nous pensions que tout était joué. J'ai ri souvent, lorsque la vieille grincheuse fait une réflexion assez marrante "Je suis tellement âgée que j'hésite à acheter des bananes vertes.' Ce pays les transforme tous. J'ai aimé, une sympathique comédie. J'ai aussi beaucoup aimé les chemisiers ou chemises que les actrices portaient, de beaux tissus, des beaux imprimés.

En sortant du cinéma j'entendais une dame qui parlait à son amie, elle disait que des gens qu'elle connaissait partaient chaque année six mois là bas, ils ne dépensaient pratiquement rien sur place, cela leur permettait de vivre au soleil l'hiver et de revenir avac un joli pécule sur leur compte en banque. il y a quarante ans c'était l'Espagne qui était prisée par les retraités, ensuite la Tunisie ou le Maroc, maintenant c'est l'Inde.

Nous faisions la causette en attendant avec une dame qui faisait la queue, elle avait vu "De rouille et d'os" avec Marion Cotillard  et elle avait beaucoup aimé ce film, comme quoi les avis sont partagés et qu'il faut y aller pour se forger sa propre opinion. Ce sera pour une autre fois, ailleurs qu'à Vichy j'espère, il faudra bien partir un jour.

Je n'ai même pas le temps de lire, c'est bizarre, mais je passe mon temps à quoi? Je traîne au petit dejeuner que je ne prends pas trop tôt, le temps passe et je n'ai rien fait. Je suis en train de réinitialiser mon cerveau, mis à mal avec toutes ces parties de scrabble.. Je disais à Christian que ce que je regrettais le plus au festival de Vichy était le manque de temps pour se reposer, au moins une matinée ou deux, le programme est trop chargé, c'est vrai, nous ne sommes pas obligés de tout jouer, mais en même temps si nous sommes là c'est pour le scrabble, c'est dur de résister. J'aime le festival de Biarritz parce que justement nous ne jouons pas certaines matinées, le programme est bien pensé, j'ai l'impression d'être moins fatiguée et de pouvoir profiter de la ville certains jours; Je joue le même nombre de tournois, mais pas dans les mêmes conditions. Sur Facebook, Martine Mourot me proposait de jouer Pougues-les-Eaux, mais j'ai refusé, désolée Martine, je me sens incapable de me concentrer si près de Vichy, de quoi m'écoeurer à jamais du scrabble, il faut savoir lever le pied.

Je vous parlerai de mes lectures la semaine prochaine, j'ai deux livres à lire en priorité.
J'espère bien profiter enfin du transat à l'extérieur, de pouvoir faire des barbecues (à gaz) marcher le soir après souper, lorsque les parfums de la nature sont les plus puissants, au coucher du soleil, les journées sont encore longues, dans un mois les journées raccourciront; déjà !

Trois dessins :








On en parle beaucoup de ce G8, entrée réussie pour F.Hollande.






Martine et François, une longue histoire, mais comment voulez-vous qu'ils soient d'accord ? Ils sont tellement différents.




DSK peut toujours espèrer.


Bye MClaire.

lundi 7 mai 2012

On me demande quelquefois quelle différence je fais entre ma gazette et mon bloc-notes, je fais une différence, j'écris le bloc notes presque quotidiennement, il est nourri des activités du jour, des réflexions quotidiennes et il a de plus en plus de lecteurs, j'arrive à plus de 100 visiteurs certains jours, sans aucun tag, pour moi c'est énorme, certes ce ne sera pas un best-seller de librairie, mais ce n'est pas le but, je me fais plaisir et si au passage je vous fais plaisir aussi, tant mieux.

J'ai une affection particulière pour la Gazette, j'ai commencé à l'écrire il y a presque six ans, nous venions de créer le site sur les pages d'Aol, les balbutiements du site, nous ne savions rien faire, nous tâtonnions, et j'avais eu l'idée pour rendre plus vivante cette page d'écrire un petit texte. Lorsqu'Aol a mis fin à la page perso et je me souviens de mon chagrin, le mot est un peu fort, de ma déception plutôt en découvrant leur mail aux abonnés, ma plus grande tristesse était de ne plus pouvoir écrire cette gazette, je n'avais jamais pratiqué ce genre d'exercice et j'y avais pris goût. Nous avons ouvert le site sur Jimdo, j'ai pu continuer à écrire ma gazette. Au passage, le site va fêter ses 6 ans, sur Aol et sur jimdo.

Je ne connaissais encore pas le monde de la blogosphère, où tout le monde peut s'exprimer sans limite. Faire partager mes lectures, mes pensées, surtout mes lectures, c'est à ça que la gazette sert en priorité, et j'aime bien l'idée que les gens qui la lisent me connaissent et m'en parlent lors de nos rencontres, ce n'est pas anonyme.
L'autre jour j'écrivais mon regret de ne plus voir Michel et Claudie Russon dans les tournois, le téléphone a sonné aussitôt après la gazette publiée, Claudie l'avait lue, nous nous verrons à St-Etienne, elle joue le championnat de France. Hier, Josiane Le Berrigaud et Philippe Guilbaud mangeaient leur sandwich en notre compagnie et Josiane demandait à Christian si la tondeuse à cheveux fonctionnait, elle lit les nouvelles tous les jours !! Je confirme, la tondeusa a bien fonctionné, j'ai tondu sans problème ce matin, Christian a eu une coiffure normale.

Il y a aussi MThé, ma copine de scrabble du club de Ploudalmezeau qui  me passe des mails très souvent, j'aime bien ouvrir mon ordi le matin et lire les commentaires de MThé, elle partage mon goût de la lecture.  Vous pouvez m'écrire, j'aime beaucoup.

Le mari de ma copine de lycée qui habite Nice, m'en parlait au téléphone, il n'y a pas longtemps, il la lit régulièrement et pourtant nous ne sommes pas vus depuis si longtemps, la conversation a repris comme si nous nous étions quittés hier, il savait tout. Coucou Gérard, j'espère que nous allons trouver l'occasion de nous voir.

Il y a mon fils qui vit au Mexique, lui aimait beaucoup lire avant, je ne sais plus s'il lit encore, par contre je sais qu'il lit ma gazette, le petit point Mexico est sur la carte, ma fille rit beaucoup lorsque je parle de mes enfants ou de mes petits enfants, mais elle doit toujours avoir peur que je raconte quelque chose d'irracontable, mais non ma chérie ne crains rien, je sais me tenir.  Mon autre fils ne la lit pas, il n'en parle jamais, il a d'autres chats à fouetter, son seul but lorsqu'il a un moment de libre et de se précipiter sur son ordi et d'écouter de la musique bizarre, il met les écouteurs et s'isole du monde extérieur, ça m'énerve un peu, mais enfin je le comprends, avec quatre enfants bruyants, il a raison de s'isoler de temps en temps et je me demande si Pascal a lu un seul livre en entier dans son existence, il a horreur de lire à mon grand désespoir, il n'y a que la musique qui compte, il mixe et remixe des morceaux, mais comment fait il pour ne pas avoir encore atteint la gloire de David Guetta?

Parlons lecture puisque c'est le but de cette gazette en priorité.
Je suis en train de lire "Les dieux voyagent toujours incognito." de Laurent Gounelle.
J'avais aimé "L'homme qui voulait être heureux.", j'aime aussi celui-ci, un livre qui parle de psychologie et qui est en même temps un polar
Un homme veut en finir avec la vie, il est prêt à se jeter du haut de la Tour Eiffel, sa vie n'a plus aucun sens, il n'a jamais été heureux, son père ne l'a pas reconnu, sa mère a été une mère castratrice, mais qui le poussera toujours vers l'excellence sans se soucier de son bonheur à lui, un jour il baisse la garde et s'investit complètement dans une relation amoureuse qui sera un échec, son travail le déçoit, il veut en finir avec cette vie qu'il n'aime pas, "La vie est longue et ennuyeuse, quand on ne la vit pas comme on voudrait." c'est ce que va lui dire l'homme qui l'empêche de sauter, il le sauve mais lui fait promettre de faire tout ce qu'il lui demandera. Le bonheur ne dépend pas d'éléments extérieurs, mais de ce qui se passe en nous, comment dépasser nos peurs, nos inhibitions, un livre à lire si vous aimez l'introspection de l'âme humaine.

J'ai fait provision de livres pour le camping :

Malou m'a prêté " Le vieux qui lisait des romans d'amour" de Luis Sepulveda, un auteur chilien, un livre écologiste. Un livre qui fait le procès des blancs qui détruisent faune et flore en Amazonie.Elle m'a dit que j'allais beaucoup aimé.


Je n'ai pas pu attendre la sortie en poche de "L'armoire des robes oubliées." de Riika Pulkkinen, une auteure finlandaise. J'avais lu les critiques élogieuses de ce livre et la couverture était tellement attirante, je l'ai touché, je l'ai reniflé et je l'ai acheté.
Elsa la grand-mère qui a la soixantaine va mourir rongée par un cancer, toute sa famille l'entoure et c'est à cette occasion que sa petite fille la plus fantasque va découvrir dans son armoire une robe
oubliée. Des secrets de famille vont surgir. J'aimerai ce bouquin, j'en suis certaine.




Je n'ai pas commencé "La couleur des sentiments", ce livre se dérobe, c'est bizarre, je ne l'ai pas lu alors que tout le monde le lisait, il est là sur mon table de salon, je ne le touche pas, il va partir en voyage avec moi et une fois commencé je ne vais sans doute pas pouvoir le quitter.

Pendant une semaine le scrabble va occuper la plus grande partie de ma vie, ensuite nous irons chercher le soleil, nous ne savons pas où nous irons, aucune idée, j'aime bien ne rien préparer, ce sont souvent nos plus beaux souvenirs de vacances.
En attendant, mercredi je vais faire comme les bulots, regagner ma coquille, qui sera notre caravane, endroit où je me sens tellement bien.
Nous aurons internet à Vichy, le site sera mis à jour, chaque soir si nous pouvons avec les parties du jour pour ceux qui n'auront pas joué sur le site de la fédé, ensuite ce sera selon les campings, en général ils ont tous internet maintenant, sauf si nous nous retrouvons au fin fond de l'Aubrac comme une année où rien ne passait même pas le téléphone portable, il fallait que nous allions sur la colline pour capter.

Je ne veux pas mettre de dessins, je respecte les choix politiques de chacun, je ne veux pas faire de peine, ni être triomphaliste, et puis zut, je change d'avis, j'en ai deux qui ne sont pas méchants :





F. Hollande offre des fleurs.








N.Sarkozy se pose des questions, mais c'était avant qu'il fallait se les poser.

Bye MClaire.